Identité Blanche – III
Il est complètement anormal que beaucoup de personnes s’interrogent sur leur identité (voir les deux numéros précédents de ces “Commentaires”). Il y a là quelque chose qui ne va pas. Lorsque les gens mènent une vie normale, leur identité correspond naturellement à ce qu’ils sont : ils n’éprouvent même pas le besoin d’y penser. Pourquoi les blancs, par rapport à n’importe qui d’autre, sont mis aujourd’hui en porte à faux ? Sans doute doivent-ils ne s’en prendre qu’à eux-mêmes, car cette attitude leur apporte toutes sortes de problèmes dont ils pourraient fort bien se passer. Pour aller au fond des choses, peut-être faut-il examiner quelques questions supplémentaires :
La semaine dernière, vous avez dit que « tout tourne autour du Christ » et que retourner à Lui serait la solution à toutes les questions d’identité. Pourtant, des milliards de non-chrétiens n’ont aucun problème d’identité. Des milliards de non-chrétiens mènent une vie normale et décente sans avoir recours au Christ. Alors, pourquoi devrait-on revenir à Lui ?
Le christianisme a évidemment commencé en Terre Sainte. Mais avec les Apôtres, il s’est rapidement répandu dans tout le monde connu : avec saint Thomas en Inde, tandis que saint Jean et saint Philippe prêchaient en Asie mineure ; Nathanaël a exercé son apostolat en Arménie, Matthieu en Afrique, Thaddée en Perse, etc. Dans chacune de ces régions, la nouvelle religion aurait pu en théorie se répandre comme elle l’a fait en Europe avec Pierre, Paul, André et Jacques le Majeur. Mais Dieu réservait au continent européen des dons particuliers d’ordre naturel et surnaturel pour que les Européens devinssent Ses missionnaires dans le monde entier. C’est ainsi que, 600 ans plus tard, le Moyen-Orient, en grande partie, abandonnait le christianisme pour adopter l’islam, tandis que l’Europe, au contraire, restait privilégiée et réputée pour son orthodoxie, Rome étant au premier rang (Rom. I, 8). La Providence divine a prévu l’Empire romain pour préparer l’Europe entière à soutenir le destin catholique de Rome. On peut même aller jusqu’à dire que, dans la pensée de Dieu, l’Europe et la Foi étaient identiquement liées l’une à l’autre. Ce qui implique que le Christ est une partie essentielle de l’identité européenne ou blanche, en particulier.
Et quel rôle les Juifs ont-ils joué dans tout cela ?
Vous faites bien de poser la question, car pour le meilleur comme pour le pire, cette race a toujours eu, dans l’esprit de Dieu, un rôle spécial à jouer. En fait, les juifs ont lutté, dès le début, de toutes leurs forces, contre l’Église, comme nous le montrent les épîtres de St Paul (I Thess. II, 14–16 par exemple). De fait, ce sont eux qui persuadèrent l’Empereur romain Claude (41–54 après J.C.) de persécuter les chrétiens. Et maintenant, ils identifient encore, dans la race blanche, ceux à qui l’on attribue dans le passé les succès de la religion de Jésus-Christ qui ont duré presque deu mille ans. Dès lors, qui peut s’étonner de les voir utiliser aujourd’hui le pouvoir qu’ils ont accumulé au cours des siècles dans la politique, les médias, les films et les universités, pour noircir les Blancs au point de les rendre honteux d’être blancs. D’où le sentiment d’absence d’identité pour les Blancs. Mais les Juifs ici ne sont que le fléau de Dieu.
Mais, s’ils sont les champions de Dieu, pourquoi les Blancs ne se défendent-ils pas ? Pourquoi Dieu les abandonne-t-Il ?
La réponse aux deux questions c’est que ce sont les Blancs qui ont abandonné Dieu. Qui peut nier qu’aujourd’hui la plupart des Blancs ne croient plus du tout en Dieu, ou du moins ne Le prennent plus au sérieux ? Vous pensez que Dieu ne s’en rende pas compte ? Repensez ! Un vieux proverbe païen exprime la corrélation entre le sort des hommes et le courroux divin : “Dieu rend fous ceux qu’Il veut perdre.” Les Blancs d’aujourd’hui sont aveugles ; ils ont le comportement de fous suicidaires, et tous les peuples qui les suivent sont voués à devenir fous. S’ils sont ainsi flagellés par les Juifs, la faute leur en incombe entièrement, parce qu’ils ont abandonné leur Sauveur. Dieu se soucie trop de ses enfants pour les laisser descendre en Enfer sans leur envoyer au préalable de graves problèmes qui les fassent réfléchir.
Finalement, quelle est donc la solution ?
Oubliez l’identité ! Oubliez votre Moi débile ! Pensez à notre Seigneur Jésus-Christ. Pensez à la mort effroyable qu’Il a subie pour vous et pour moi. Tournez-vous vers sa Mère, la suppliant de nous secourir. Prenez le chapelet en main, et priez le Saint Rosaire, au moins cinq Mystères par jour. Demandez à la Mère de Dieu d’obtenir la Consécration de la Russie à Son Cœur Immaculé. Cette Consécration seule permettra de débloquer pour l’humanité le salut qui, de jour en jour, devient plus problématique. Marie l’emportera. Et que Dieu vous bénisse !
Kyrie eleison.