“Holocaustianisme”
Bien des catholiques semblent croire que ce qu’on appelle “l’Holocauste” n’a rien à voir avec la religion. Ils se trompent lourdement. Voici deux paragraphes (légèrement adaptés) du bel hommage rendu au Professeur Robert Faurisson, mort en octobre, par Jérôme Bourbon, courageux rédacteur en chef de l’excellent hebdomadaire parisien Rivarol :—
Par ses travaux et sa fameuse phrase de soixante mots le Professeur Robert Faurisson a non seulement menacé les fondements idéologiques de l’ordre mondial issu de la dernière guerre mondiale, mais il a contesté une véritable religion, ou plutôt une contre-religion : l’Holocaustianisme. C’est un culte qui ne souffre pas que l’on manque de déférence ou de soumission à son endroit. C’est un faux dieu qui exige que l’on brûle sans cesse l’encens devant lui, qu’on l’adore, qu’on rallume la flamme comme à Yad Vashem, qu’on offre des fleurs et qu’on élève des lamentations vers le Ciel comme lors des pèlerinages et processions à Auschwitz et ailleurs, en battant sa coulpe et en s’écriant « plus jamais ça ».
L’Holocaustianisme, enseigné dès l’école primaire et tout au long de notre existence par la télévision, le cinéma, les spectacles, singe en effet la religion catholique. Elle a ses martyrs (les Six Millions), ses saints (Elie Wiesel, Anne Frank ), ses miraculés (les survivants de l’Holocauste), ses stigmatisés (les déportés avec leur numéro tatoué sur le bras), ses pèlerinages à Auschwitz, ses temples et ses cathédrales (les musées de l’Holocauste et autres monuments commémoratifs), ses aumônes pour être absous de ses fautes (les réparations financières incessantes en faveur de l’État d’Israël et des survivants de l’Holocauste), ses reliques (les dents, les cheveux, les souliers des déportés), son hagiographie (les livres d’Elie Wiesel, d’Anne Frank), ses lieux de supplice (les chambres à gaz), son Évangile (le verdict du tribunal militaire de Nuremberg), ses grands prêtres et ses pontifes (Simon Wiesenthal), son Inquisition (les tribunaux civils dotés d’un arsenal répressif anti-révisionniste), sa législation contre le blasphème (interdisant formellement toute remise en cause de l’Holocauste), sa cité sainte ( la Jérusalem moderne), ses prédicateurs et ses gardiens (les enseignants et toutes les Associations, qu’il s’agisse de politique, de religion, de sport, d’économie, des média ou des syndicats), ses Congrégations religieuses (le Congrès juif mondial, le B’nai B’rith, l’AIPAC, etc., etc . . . . ), son enfer (pour tous les nationalistes, – sauf les Israéliens –, pour les révisionnistes, pour ceux qui ajoutent foi au déicide, et qui croient que le Nouveau Testament a remplacé l’Ancien), et pour finir, ses fidèles (la quasi-totalité de l’humanité).
Ce culte de l’Holocauste ne se contente pas de singer la religion chrétienne ; il en est une véritable contrefaçon : à l’amour, il oppose la haine ; à la vérité, le mensonge ; au pardon des offenses, la vengeance talmudique ; au lieu de respecter les personnes âgées, il traque les anciens gardiens des camps ; à l’esprit de pauvreté il oppose la récupération des dommages de guerre ; à l’humilité, la volonté de domination ; au sens du partage, l’esprit de lucre ; à la charité, le chantage ; au respect d’autrui, le lynchage ; au silence du recueillement, le tapage de la mise en accusation médiatique ; à la justice infinie de Dieu, la partialité d’un tribunal de vainqueurs jugeant les vaincus, etc, etc . . .
Voici donc un sonnet pour honorer ce que le professeur Faurisson a fait pour en finir avec ce fléau de l’humanité.
“La Vérité est puissante et elle l’emportera”, disaient-ils.
Une race répondit : “Certes non !” la Vérité c’est nous qui la faisons !
“Car de race supérieure, de tous les hommes nous sommes la tête,
Notre vérité, tous nos inférieurs doivent l’accepter !”
C’est ainsi qu’apparut toute une mythologie, et
De deux guerres mondiales, cette race a modifié l’histoire.
Aux faibles d’esprit, elle a imposé les chambres d’horreur,
Pour fabriquer un dieu que tout le monde doit adorer.
Mais un frêle Français a bravé ces mensonges racistes.
“D’une vraie telle chambre montrez-nous l’image – une seule !”
Mais il n’y eut ni photo ni image. Poussant des cris
De rage, la race maîtresse savait que la Vérité était sauve.
Professeur incroyant, c’est pour toutes les races
Que Dieu vous a choisi pour sauver la vérité.
Kyrie eleison.