Holocauste

Les Proces Prennent Fin

Les Proces Prennent Fin on mars 23, 2019

Nous l’attendions depuis longtemps . . . . Le 31 janvier dernier, la Cour Européenne des Droits de l’Homme a fait connaître sa décision : l’appel requis par l’auteur de ces “Commentaires” est rejeté. Il avait fait appel de la condamnation que sept tribunaux allemands avaient portée contre lui pour avoir commis le “crime” de se demander si, véritablement, six millions de personnes avaient été gazées sous le troisième Reich ; selon le droit allemand ces condamnations étaient possibles du fait que le contrevenant se trouvait, en novembre 2008, sur le territoire de la République Fédérale Allemande. Les deux avocats allemands de la défense ont fait une tentative honorable pour défendre leur client qui, politiquement, était le plus incorrect qui soit ; mais ils ont dû se battre avec une main attachée dans le dos. Car la loi allemande interdit de prendre position sur la vérité historique. Si bien qu’aujourd’hui, en Allemagne comme dans de nombreux pays, la vérité ne constitue plus la mesure des intérêts privés : ce sont certains intérêts privés qui sont la mesure de la vérité.

Mais qu’est-ce qui a bien pu détrôner ainsi la vérité ? Tout comme Dieu Tout-Puissant Lui-même, soit la Vérité passe avant tout, soit elle ne représente plus rien. Dieu ne peut que passer avant toute chose parce qu’Il est le Créateur, infiniment supérieur à toute Sa Création. La Vérité passe avant tout parce que, si nous la définissons comme l’adéquation de l’esprit à la réalité, alors toute diminution ou toute négation de la vérité, toute préférence pour une contre-vérité qui contredit la vérité, implique que, à proportion, l’esprit n’a plus de prise sur la réalité. En conséquence, tout l’être glisse, plus ou moins, dans la fiction et le mensonge. Il est donc évident que pour les lois et pour les tribunaux d’une nation, quelle qu’elle soit, la vérité est d’une importance capitale. Devant un tribunal, les témoins ne doivent-il pas jurer «  de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité » ?

C’est pourquoi les grands législateurs sont vus comme les fondateurs de leur nation : Moïse pour Israël, Solon pour Athènes, Lycurgue pour Sparte. Tous tracèrent le cadre de la justice au sein de leur peuple en accordant à chacun son dû. Ils ont ainsi rendu possible les relations sociales et même les sociétés. Un groupe de 22 hommes dans une quelconque partie de football n’a-t-il pas besoin de son propre juge : l’arbitre ? Or, celui-ci ne peut remplir sa fonction sans la vérité. S’agit-il d’un tacle honnête ou d’une faute ? En toute justice, cela mérite-t-il ou non un penalty ? Cela dépend de la vérité de ce qui s’est réellement passé. Ainsi, vivre en société n’est possible qu’avec une certaine mesure de justice, et la justice n’est possible qu’avec une certaine mesure de vérité. Heureux, le pays dont les législateurs et les juges récompensent ce qui, en vérité, est bien et punissent ce qui, en vérité, est mal.

Maintenant, que penser des lois et des tribunaux qui punissent toute remise en question du meurtre de Six Millions de victimes durant la Seconde Guerre mondiale ? Ce meurtre est-il un fait historique ou ne l’est-il pas ? S’il l’est, alors, le remettre en question peut être mal, à proportion du dommage que cause cette remise en question ; mais si le meurtre n’a jamais eu lieu, alors il est conforme à la vérité de le remettre en question. Non seulement cela n’a rien de mauvais, mais au contraire cette action est en tant que telle, bonne. Car enfin, si les Six Millions ne sont qu’un mythe monstrueux pesant sur l’esprit des gens comme le dogme fondateur d’une fausse religion, n’est-ce pas accomplir une œuvre salutaire que de les aider à se libérer du mensonge ? “La Vérité vous libérera “, dit Notre Seigneur (Jn.VIII, 32). Il est donc clair comme le jour que si les Six Millions n’ont jamais été assassinés, la remise en question de leur meurtre ne mérite absolument aucun châtiment mais plutôt une récompense de la part de la société.

Or, il est certain que les politiciens et leurs intérêts personnels peuvent peser sur la vérité dans une certaine mesure, mais la vérité possède une telle force intrinsèque qu’il est bien difficile de la supprimer complètement. C’est ainsi que l’avis de plusieurs historiens sérieux, se fondant sur des preuves objectives, peut s’opposer aux intérêts privés les plus puissants. Tel est bien le cas du « gazage » de « six millions » de victimes sous le troisième Reich. Les intérêts privés peuvent dire ce qu’ils veulent, mais ils ne peuvent rien changer à ce qui a eu lieu objectivement il y a 75 ans. Alors qu’est-ce que disent les historiens sérieux ?

Par conséquent, tout État qui interdit d’affirmer la vérité historique se construit sur du sable. Que tout État se méfie donc de faire passer des lois qui mettent la vérité au second rang, car à tout le moins dans le cas présent, la vérité historique – par opposition à la “vérité’’ émotionnelle – n’est pas nécessairement de leur côté.

Kyrie eleison.

“Holocaustianisme”

“Holocaustianisme” on février 2, 2019

Bien des catholiques semblent croire que ce qu’on appelle “l’Holocauste” n’a rien à voir avec la religion. Ils se trompent lourdement. Voici deux paragraphes (légèrement adaptés) du bel hommage rendu au Professeur Robert Faurisson, mort en octobre, par Jérôme Bourbon, courageux rédacteur en chef de l’excellent hebdomadaire parisien Rivarol :—

Par ses travaux et sa fameuse phrase de soixante mots le Professeur Robert Faurisson a non seulement menacé les fondements idéologiques de l’ordre mondial issu de la dernière guerre mondiale, mais il a contesté une véritable religion, ou plutôt une contre-religion : l’Holocaustianisme. C’est un culte qui ne souffre pas que l’on manque de déférence ou de soumission à son endroit. C’est un faux dieu qui exige que l’on brûle sans cesse l’encens devant lui, qu’on l’adore, qu’on rallume la flamme comme à Yad Vashem, qu’on offre des fleurs et qu’on élève des lamentations vers le Ciel comme lors des pèlerinages et processions à Auschwitz et ailleurs, en battant sa coulpe et en s’écriant « plus jamais ça ».

L’Holocaustianisme, enseigné dès l’école primaire et tout au long de notre existence par la télévision, le cinéma, les spectacles, singe en effet la religion catholique. Elle a ses martyrs (les Six Millions), ses saints (Elie Wiesel, Anne Frank ), ses miraculés (les survivants de l’Holocauste), ses stigmatisés (les déportés avec leur numéro tatoué sur le bras), ses pèlerinages à Auschwitz, ses temples et ses cathédrales (les musées de l’Holocauste et autres monuments commémoratifs), ses aumônes pour être absous de ses fautes (les réparations financières incessantes en faveur de l’État d’Israël et des survivants de l’Holocauste), ses reliques (les dents, les cheveux, les souliers des déportés), son hagiographie (les livres d’Elie Wiesel, d’Anne Frank), ses lieux de supplice (les chambres à gaz), son Évangile (le verdict du tribunal militaire de Nuremberg), ses grands prêtres et ses pontifes (Simon Wiesenthal), son Inquisition (les tribunaux civils dotés d’un arsenal répressif anti-révisionniste), sa législation contre le blasphème (interdisant formellement toute remise en cause de l’Holocauste), sa cité sainte ( la Jérusalem moderne), ses prédicateurs et ses gardiens (les enseignants et toutes les Associations, qu’il s’agisse de politique, de religion, de sport, d’économie, des média ou des syndicats), ses Congrégations religieuses (le Congrès juif mondial, le B’nai B’rith, l’AIPAC, etc., etc . . . . ), son enfer (pour tous les nationalistes, – sauf les Israéliens –, pour les révisionnistes, pour ceux qui ajoutent foi au déicide, et qui croient que le Nouveau Testament a remplacé l’Ancien), et pour finir, ses fidèles (la quasi-totalité de l’humanité).

Ce culte de l’Holocauste ne se contente pas de singer la religion chrétienne ; il en est une véritable contrefaçon : à l’amour, il oppose la haine ; à la vérité, le mensonge ; au pardon des offenses, la vengeance talmudique ; au lieu de respecter les personnes âgées, il traque les anciens gardiens des camps ; à l’esprit de pauvreté il oppose la récupération des dommages de guerre ; à l’humilité, la volonté de domination ; au sens du partage, l’esprit de lucre ; à la charité, le chantage ; au respect d’autrui, le lynchage ; au silence du recueillement, le tapage de la mise en accusation médiatique ; à la justice infinie de Dieu, la partialité d’un tribunal de vainqueurs jugeant les vaincus, etc, etc . . .

Voici donc un sonnet pour honorer ce que le professeur Faurisson a fait pour en finir avec ce fléau de l’humanité.

“La Vérité est puissante et elle l’emportera”, disaient-ils.
Une race répondit : “Certes non !” la Vérité c’est nous qui la faisons !
“Car de race supérieure, de tous les hommes nous sommes la tête,
Notre vérité, tous nos inférieurs doivent l’accepter !”
C’est ainsi qu’apparut toute une mythologie, et
De deux guerres mondiales, cette race a modifié l’histoire.
Aux faibles d’esprit, elle a imposé les chambres d’horreur,
Pour fabriquer un dieu que tout le monde doit adorer.
Mais un frêle Français a bravé ces mensonges racistes.
“D’une vraie telle chambre montrez-nous l’image – une seule !”
Mais il n’y eut ni photo ni image. Poussant des cris
De rage, la race maîtresse savait que la Vérité était sauve.
Professeur incroyant, c’est pour toutes les races
Que Dieu vous a choisi pour sauver la vérité.

Kyrie eleison.

Un Vrai Héros

Un Vrai Héros on novembre 10, 2018

Le 21 octobre dernier, le professeur Robert Faurisson est décédé à Vichy (France). Avec lui, s’est éteint l’un des rares héros dont notre pauvre monde moderne pouvait encore s’enorgueillir. C’était un vrai héros car il fit preuve, dans notre monde menteur, d’un courage sans faille et d’une rectitude scrupuleuse pour la vérité, alors qu’il traitait une question revêtant une importance déterminante pour toute l’humanité. Son courage pour défendre la vérité lui valut la perte de son emploi, les souffrances de sa famille, dix agressions physiques dont l’une l’a laissé pour mort, l’isolement professionnel et une interminable série de procès de la part d’ennemis acharnés. Néanmoins, il sut toujours observer envers eux politesse et respect. Ce style de vie, il le maintint pendant plus de 40 ans, sans jamais hésiter dans son service de la vérité.

Il est mort au champ d’honneur. Il venait tout juste de rentrer chez lui, après avoir donné une dernière conférence publique dans la ville où il est né, il y a de cela près de quatre-vingt-dix ans, à Shepperton, en Angleterre. Ce devait être son chant du cygne. Il eut encore ce jour-là une conversation avec un ami italien qui nous confie ceci : “ Le professeur était clairvoyant, équilibré et se tenait bien droit comme à l’accoutumée. Mais il était fatigué, très fatigué, si fragile qu’il semblait presque transparent. Il avait le sentiment que sa tâche était terminée. De fait, cet homme, d’une bravoure incomparable, avait bien accompli sa mission.” Et l’ami poursuit : “Il laisse derrière lui une immense contribution à la cause Révisionniste ( . . . ) Des ennemis remplis de haine ont cherché à l’empêcher d’écrire, même de vivre ; mais il s’est toujours relevé, sans peur, ne s’écartant pas d’un iota dans sa quête de la vérité.

Beaucoup de lecteurs de ces “Commentaires” savent ce qu’il faut entendre par “Révisionnisme”, et pourquoi son importance concerne tout le monde, catholiques y compris. Comme l’a dit George Orwell, “Le moyen le plus efficace de détruire les gens est de nier, puis d’anéantir, la compréhension qu’ils ont de leur histoire.” Les Révisionnistes sont des historiens qui constatent aujourd’hui, partout dans le monde, des gens en train de se faire détruire par une version mensongère de leur histoire, en particulier par les falsifications concernant la Seconde Guerre mondiale. C’est pourquoi les Révisionnistes font tout ce qui est en leur pouvoir pour en rétablir la vérité. Car (encore une citation d’Orwell) : “Qui contrôle le passé contrôle le futur . . .”, ce qui veut dire que celui qui écrit les livres d’histoire passée, contrôle le futur par l’influence que l’histoire exerce sur l’esprit des gens, et “ qui contrôle le présent contrôle le passé”, ce qui veut dire que, dans la mesure où les maîtres politiques du moment utilisent leur pouvoir pour contrôler les livres d’histoire, par là ils contrôlent le futur.

Or, ceux qui détiennent aujourd’hui le pouvoir mondial sur la politique et les médias sont des gens qui veulent instituer un Nouvel Ordre Mondial sans Dieu. Aussi comprennent-ils parfaitement George Orwell. Pour cette raison, ils ont fabriqué une version de la Seconde Guerre mondiale affreusement falsifiée, jusqu’à la faire coïncider avec une religion fabriquée de toutes pièces. Ce qu’ils veulent, c’est remplacer le christianisme. Beaucoup pensent aujourd’hui que la vérité n’a pas beaucoup d’importance et que le christianisme n’a pas beaucoup d’importance non plus ; de ce fait, ils supposent que, si le Nouvel Ordre Mondial prenait le pouvoir, ils ne devraient pas avoir de problèmes particuliers. Mais en fait, ils vont subir de plein fouet une tyrannie mondiale, une sorte de prélude à l’Antichrist. Par contre, instruit par les 72 ans d’horribles souffrances de la Russie vécus par les Russes sous le joug du communisme impie, Soljenitsyne n’a-t-il pas mis en garde contre la construction d’une nation, d’un continent ou d’un monde sur le mensonge ? De même, le professeur Faurisson avait horreur des gens qui fondaient leur monde sur le mensonge ; il a consacré sa vie à rétablir la vérité. Et en le persécutant pendant des dizaines d’années alors qu’il disait simplement la vérité, ses pauvres ennemis ont administré la preuve de l’importance et de l’efficacité de ce qu’il faisait.

De plus, il n’attendait aucune récompense céleste pour son dévouement à la vérité, car il se disait athée. Pourtant, il aimait les enfants, il n’a jamais refusé une bénédiction, et il en était même heureux. Mais désormais, comme le remarquait une de ses sœurs, après avoir dû se présenter devant une série de juges injustes, presque tous agenouillés devant le Nouvel Ordre Mondial, il a paru devant le Juge Suprême, le Juste Juge : Notre divin Seigneur. Comment Notre Seigneur l’aura-t-il jugé ? Deux choses sont certaines : premièrement, rien dans toute sa vie n’aura été aussi important que ce jugement, et deuxièmement, son mérite était grand devant les hommes, mais ce n’est pas la même chose que de mériter devant Dieu. Que Dieu lui ait octroyé, au tout dernier moment, une grâce spéciale de conversion n’est pas exclu . . . . Espérons donc, et prions pour le repos de son âme. Mt. XXI, 28–29 nous donne plus que le droit de faire ainsi.

Kyrie eleison.

Ennemis Éternels

Ennemis Éternels on mars 17, 2018

Beaucoup de lecteurs – pas tous, loin s’en faut – seront certainement mécontents et dubitatifs en constatant que ces “Commentaires” persistent à dire que beaucoup de problèmes dans l’Église et dans le monde d’aujourd’hui viennent des Juifs. Mais de fait à la Révolution française (1789), les Juifs furent émancipés par les francs-maçons. Ils eurent alors la liberté d’occuper tous les postes importants dans la société et sont progressivement parvenus à contrôler la politique, les universités et en particulier les médias. Ce contrôle, qu’imprudemment les Gentils leur ont accordé, leur a permis de persuader le monde entier qu’ils sont les victimes, plutôt que la cause, des tensions perpétuelles les opposant au reste du monde.

Pourtant, au Moyen Age, alors que la Foi éclairait les esprits sur ce qu’est la Voie, la Vérité et la Vie, les Papes et les Conciles catholiques ont publié une abondance de documents enjoignant aux Chrétiens de se méfier des ruses juives ; ils interdisaient même aux Chrétiens de fréquenter les Juifs, pour ne pas mettre en danger leur salut éternel. S’agissait-il là simplement “d’antisémitisme” ? Récemment, un professeur italien vient de soutenir – et il n’est pas le seul – que les Juifs se sont constitués, au sein de l’église conciliaire et de sa papauté, en force dominante. Voici un bref résumé de la déclaration de ce professeur, dont on trouvera le texte entier en italien sur :— http://​www.​unavox.​it/​ArtDiversi/​DIV2277_​Lamendola_​Scacco_​in_​tre_​mosse.​html

Le néo-modernisme qui ravage actuellement l’Église catholique est le modernisme condamné par saint Pie X. Toutefois, s’y est ajouté un nouvel élément : le judaïsme talmudique. Les Juifs se sont toujours efforcés de ramener à néant la divinité de Notre-Seigneur Jésus-Christ car, s’il n’est pas Dieu, le catholicisme n’est plus rien. Il en résulte que le principal obstacle à leur propre domination du monde n’existe plus. Prenons l’exemple de l’hystérie qui s’empara du monde en 2009, à la suite de quelques remarques, faites à la télévision suédoise, qui jetaient un doute sur l’existence des chambres à gaz en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale. Il est impossible que le problème ait été uniquement lié à l’évêque auteur de ces remarques. En fait, ce tumulte a été organisé après coup, pour paralyser la Fraternité Saint Pie X à laquelle appartenait cet évêque, mais surtout pour contraindre le Pape Benoît XVI de prendre distance d’avec la Tradition Catholique qui garde encore la Foi du Moyen Âge. Ainsi, le cardinal Ruini, vicaire émérite du pape pour le diocèse de Rome, n’a-t-il pas proclamé : « Celui qui nie l’Holocauste ne peut pas être un évêque catholique » ?

Plus loin, le professeur note qu’en 1965, lorsqu’avec sa déclaration Nostra Aetate Vatican II affirma que l’alliance de Dieu avec les Israélites de l’Ancien Testament était toujours valide, ce fut une formidable avancée qui propulsa “l’Holocauste” au centre de la religion catholique. En effet, cela signifiait que la rédemption par Jésus-Christ n’était plus nécessaire au salut, et donc que l’Église catholique n’était plus l’unique dépositaire de la Vérité dans sa totalité, ni le seul moyen de salut éternel. A la suite de quoi, l’importance centrale de Notre-Seigneur Jésus-Christ, abandonnée par Vatican II, fut immédiatement reprise par les Juifs pour être attachée à « l’Holocauste”. Voilà comment Abraham Foxman du B’nai B’rith a pu déclarer à New York : « L’Holocauste n’est pas simplement un exemple de génocide ; c’est une agression presque réussie contre le peuple élu de Dieu, en d’autres termes, une agression contre Dieu lui-même. »

On le voit : pour les Juifs, « l’Holocauste » est un événement théologique. Elle est au centre de cette nouvelle religion qui doit être imposée au monde entier, et devant laquelle toutes les autres religions doivent s’incliner, à commencer par le catholicisme. Voilà pourquoi les évêques catholiques qui mettent en question l’« Holocauste » doivent être réduits au silence et mis au ban ; quant à l’Église catholique, elle doit faire ce que ses maîtres talmudiques lui disent de faire. Et le professeur italien de conclure : les « frères aînés » ont réussi à se faire les tutélaires incontestés de l’Église du Christ.

Notez bien que cette thèse illustre parfaitement ce que Tertullien disait déjà : la force des Juifs s’explique uniquement par la faiblesse des catholiques. La propagande en faveur de “l’Holocauste” n’a vraiment pris son essor qu’après Vatican II. Avant le Concile, les gens avaient trop de bon sens pour croire qu’on ait pu exterminer en Europe deux fois plus de Juifs pendant la guerre qu’il n’y en avait eu avant la guerre.

Mais, “Sois sans crainte, petit troupeau” (Luc XII, 32). Tout catholique sait que c’est Dieu qui aura le dernier mot, et non ses ennemis. Cette fin catastrophique du Cinquième Âge de l’Église, dans lequel nous vivons actuellement, prépare et paye d’avance le plus grand triomphe de toute l’histoire de l’Église : ce bref Sixième Âge qui verra le Triomphe du Cœur Immaculé de Marie. Quelque temps après seulement, viendra le plus grand triomphe des ennemis de Dieu dans toute l’histoire du monde, le règne de l’Antéchrist pendant trois ans et demi (Jn. V, 43) ; ce sera le Septième Âge de l’Église. Puis viendra le dernier mot, fermant la bouche à tout discours : le Jugement Général qui appartient à Dieu et qui rétablira, dans sa perfection, Sa justice universelle.

Kyrie eleison.

Vérité Historique – III

Vérité Historique – III on septembre 30, 2017

Notre « civilisation » occidentale se trouve maintenant plongée dans un effroyable châtiment : nous perdons totalement la notion du réel. C’est la punition réservée à ceux qui persistent dans le mensonge. Les gens ne sont plus capables de discerner le vrai du faux, ni l’imaginaire de la réalité. L’imaginaire paraît certes plus agréable, mais hélas, la réalité finit toujours par reprendre ses droits. Plus on s’attache à l’imaginaire, plus dur est le retour au réel. Les deux guerres mondiales du siècle dernier n’ont-elles pas été un violent rappel à la réalité ? Actuellement, nous nous dirigeons vers une troisième guerre, car la préférence pour l’imaginaire s’élève au rang d’une idéologie. Venant d’un site qui s’efforce de respecter la vérité, voici une histoire montrant clairement comment s’opère le passage du mensonge à l’idéologie.

En 2009, Herman Rosenblat, Américain d’origine polonaise, a rédigé de touchants souvenirs sur l’Holocauste. Avant même la publication du script, les droits d’auteur ont été vendus 25000 $. LAnge à la clôture du camp ( Angel at the fence ), raconte comment Rosenblat, emprisonné pendant la seconde guerre mondiale dans le camp de concentration de Buchenwald, rencontrait à la clôture extérieure du camp, une fillette de neuf ans qui lui lançait des pommes et du pain par-dessus la clôture. A la fin de la guerre, ils se sont perdus de vue. Il émigra aux États-Unis. Des années plus tard, à New York, il recourut à une agence matrimoniale pour trouver une épouse ; mais devinez qui se présenta au rendez-vous ? L’ange de la clôture en personne, maintenant devenue femme ! Il la reconnut immédiatement, la demanda en mariage ; elle accepta, et c’est ainsi qu’ils ont vécu heureux depuis.

Comment ne pas être touché par cette histoire ? Tout le monde y a cru, car le récit de Rosenblat laissait entendre que cela s’était réellement passé. Toutefois, en vérifiant cet écrit, des chercheurs démontrèrent, d’après des faits remontant à la guerre, que l’histoire de Rosenblat était un pur produit de son imagination. Par exemple les détenus de Buchenwald étaient dans l’impossibilité de s’approcher de la clôture extérieure du camp. C’était donc, une fois de plus, une “fausse histoire de l’Holocauste”. Mais, voilà qu’un visiteur régulier du site mentionné ci-dessus, un certain Seymour Zak, protesta avec véhémence, disant qu’il n’existe pas de « fausse histoire de l’Holocauste ». Son raisonnement a de quoi effrayer. Voici ce qu’il dit :

Les antisémites ne cessent d’incriminer les “fausses histoires de l’Holocauste”. Mais ces récits doivent se comprendre dans une perspective plus positive : selon “la vérité de l’imagination” comme dit le célèbre poète John Keats. Supposons qu’un événement soit perçu comme vrai par l’esprit, alors que, à strictement parler, rien ne s’est passé. Si, par la suite, cet événement est considéré comme une vérité vivante par des millions d’autres personnes bien intentionnées qui ont eu connaissance de cette version sublimée de la réalité, alors on ne peut en aucun cas la rejeter comme un “mensonge” ( . . . ) Prises dans un sens métaphysique plus élevé, toutes ces histoires sont vraies ; les nier, c’est commettre un sacrilège ( . . . ) Nous avons un devoir sacré envers les six millions d’hommes morts sous la tyrannie maléfique du dictateur nazi Adolf Hitler, nous devons conserver le souvenir des morts et rejeter avec mépris tout ce qui tend à nier l’Holocauste sous prétexte de “fausses histoires de l’Holocauste”. Je le répète : il n’y a pas de fausse histoire de l’Holocauste. Qu’elle se soit passée ou non, toute histoire de l’Holocauste est vraie ; 100 % vraie. ( . . . ) Selon les mots sublimes d’Elie Wiesel : “En littérature, certaines choses sont vraies bien qu’elles n’arrivèrent pas, tandis que d’autres ne sont pas vraies, alors qu’elles arrivèrent de fait”.

Si l’on suit le raisonnement de Seymour Zak, il est donc superflu de savoir si les six millions en question sont morts ou non “sous la tyrannie . . . ”. Ce qui compte, c’est que les 6,000,000 constituent une “version sublimée de la réalité qui, dans l’esprit de millions de personnes bien intentionnées, s’impose comme une vérité bien vivante, etc.”. Et, de ce fait, déclarer qu’elles ont été exterminées, alors qu’en réalité, elles ne l’ont pas été, n’a rien d’un mensonge, car il s’agit d’une vérité plus haute ! C’est dire que la réalité n’est plus la mesure de la vérité, surtout quand il s’agit de cette vérité supérieure, quasi-religieuse, de ce “devoir sacrée” interdisant, sous peine de “sacrilège”, de nier l’Holocauste. En d’autres termes, il existe une réalité historique et une réalité non-historique, mais seule la seconde mérite le nom de « réalité » !

C’est de la folie furieuse, mais voilà qu’elle imprègne toujours plus la société qui nous entoure. Et nous, êtres humains, qui sommes des animaux sociaux, nous nous trouvons forcément influencés par la société. Catholiques ! – et vous, les non-catholiques ! – si vous voulez garder la tête au-dessus des flots de cette folie qui monte, récitez tous les jours les 15 Mystères du Saint-Rosaire. A elle seule Notre Dame est capable de préserver votre santé mentale. Ces « Commentaires » n’ont pas d’autre remède à proposer.

Kyrie eleison.

Vérité Historique – I

Vérité Historique – I on septembre 16, 2017

L’Écriture dit (II Thess. II, 9–12) que la venue de l’Antéchrist “est l’œuvre de Satan [ . . . ] et s’accompagnera de toutes les séductions de l’iniquité pour ceux qui se perdent ; parce qu’ils n’auront pas accueilli l’amour de la vérité qui les eût sauvés. C’est pourquoi Dieu leur envoie une influence qui les égare pour qu’ils ajoutent foi au mensonge et que soient condamnés, tous ceux qui, au lieu de croire à la vérité, se complaisent dans l’iniquité.” Ici chaque mot de St Paul doit être pesé.

A l’approche de la fin du monde, laquelle – on peut le dire en toute certitude – englobera le 21 ème siècle, la perversité de l’Antéchrist viendra tromper les âmes qui se dirigent vers l’Enfer. Ces âmes se pressent vers l’Enfer parce qu’elles n’acceptent pas l’amour de la vérité comme elles l’accepteraient si elles se dirigeaient vers le Ciel. Si bien que, parce qu’elles n’auront pas aimé la vérité, Dieu les punira par l’erreur, et elles en viendront à croire en une quantité d’erreurs. De sorte qu’on peut dire qu’ils s’attirent sur eux le jugement, ceux qui, au lieu d’aimer tout d’abord, de chercher, de trouver et de croire en la vérité, consentent à prendre part en ce monde aux vils mensonges fabriqués par l’Antéchrist et ses agents (qu’on peut appeler « anti-christs » avec “a” minuscule), pour peupler l’Enfer.

Notez bien que la damnation presque générale des derniers temps consiste moins dans le refus de la vérité, que dans le refus de l’ amour de la vérité. Aujourd’hui, ce monde de mensonges fabriqué par les politiciens et les medias, une « influence qui les égare » – comme il n’y en a jamais eu – peut être perçu comme s’il n’y avait pas de vérité à refuser. Toutefois, si je garde l’espérance et si, avec un cœur droit, je me mets à la recherche de cette vérité dont je sais que je ne la trouve pas autour de moi, Dieu veillera à ce que je la trouve (Mt. VII, 7–8). En revanche, si je connais une vérité importante et que je feins de l’ignorer, Dieu m’abandonnera. Voici un exemple de ce qui peut advenir aujourd’hui, n’importe où, dans notre monde occidental.

Bernard Jouanneau, avocat français, est mort récemment. Des années durant, il a servi la LICRA, poursuivant en justice le Professeur Robert Faurisson pour avoir nié la vérité historique des chambres à gaz de la Seconde Guerre mondiale. On considère généralement que six millions de juifs sont morts durant cette période. (La LICRA est la Ligue Contre le Racisme et l’Antisémitisme qui a poursuivi Monseigneur Lefebvre pour avoir osé, à la fin des années 1980, suggérer que les musulmans devraient retourner dans leurs propres pays). Dans un entretien avec le journal catholique français « La Croix » du 23 septembre 1987, Jouanneau a déclaré : « Si les chambres à gaz ont existé, la barbarie des nazis est inégalée. Si elles n’ont pas existé, les Juifs ont menti et l’antisémitisme serait alors justifié. C’est là tout l’enjeu du débat sur les chambres à gaz. “

L’avis de Jouanneau est tout à fait exact, à ceci près qu’ ici l’enjeu dépasse même la politique. Car « l’Holocauste » est une quasi-religion partagée aujourd’hui par beaucoup d’âmes. Auschwitz remplace le Calvaire, les chambres à gaz figurent la Croix, et les Six Millions de Juifs prennent la place du Rédempteur, ce qui, en d’autres termes, signifie qu’ils sont Dieu. Cet “Holocauste” tient pratiquement lieu de religion d’État à beaucoup de nations occidentales modernes. Par conséquent, ne serait-il pas naturel que les États et les individus modernes s’intéressent sérieusement à la réalité des chambres à gaz qui sont au cœur de cet « Holocauste » ? Or, que voit-on ? Un grand nombre de ces États ont adopté des lois interdisant la mise en cause de la version officielle des chambres à gaz. Mais depuis quand les lois peuvent-elles faire ou défaire la vérité ? De telles lois jettent le discrédit sur la Loi toute entière !

Voilà un énorme manquement à l’amour de la vérité et un manque de vérité proportionnel. Bien sûr, c’est là une “influence qui égare”, et elle se referme sur nous autres, de par l’action scélérate des medias. Pourtant, quiconque aime la vérité n’a qu’à passer quelques heures sur Internet pour que sa foi dans les chambres à gaz, aussi sentimentalo-religieuse soit-elle, se fasse ébranler. Rien d’étonnant à ce que les membres de la Licra et leurs affidés font tout leur possible pour censurer Internet, mais malgré tous les périls, Internet reste jusqu’ici un atout qu’il faut défendre vigoureusement, du moins tant que la Licra n’aura pas réussi à contrôler la toile.

Kyrie eleison.