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L‘Imposture Covid

L‘Imposture Covid on mars 20, 2021

Cela fait presqu’un an que l’incroyable imposture Covid a surpris le monde entier, tout d’un coup, à base d’un mensonge gigantesque, comme quoi une peste mortelle était sur le point de s’abattre sur toute l’humanité. Le mensonge massif est devenu évident dès que le nombre des fatalités a montré que la supposée “pandémique” n’était pas pire qu’une grippe normale d’hiver. N’empêche, nos lamentables politiciens et nos médias abjects, à la botte de leurs maîtres cachés, continuent jusqu’aujourd’hui à déverser un flot de mensonges sur la “pandémie”pour maintenir un état de panique parmi les peuples du monde. Une telle sottise de leur part fait un spectacle honteux, mais comme d’habitude, ils n’ont à s’en prendre qu’à eux-mêmes, cette-fois-ci pour leur manque de bon sens, conséquence de leur manque d’amour de la vérité qui aura comme conséquence ultime l’arrivée sous peu de l’Antichrist (II Thess. II, 10).

Néanmoins, il y a quelques ämes qui font ce qu’ils peuvent pour enrayer les maîtres du monde criminels, par exemple the Corona-Committe Foundation à base de Berlin, qui a rendu publique le 14 septembre passé un “Rapport Bref” de 28 pages, dont la “Conclusion provisoire” à la page 23 est présentée en dessous. C’est une fortification de bon sens et de vérité, rassemblée par quatre avocats pour l’Allemagne en particulier, mais soutenue par les signatures d’encore 23 experts, principalement médecins, venant du monde entier. Leur Rapport se trouve à l’Internet : corona-auschuss.de/wp-content/uploads/209/02/

Selon ce que nous savons actuellement, nous avons des raisons très sérieuses de penser que le risque présenté par Covid a été gravement surestimé, tandis que le risque et dommages d’éventuelles contre-mesures n’ont pas été suffisamment pris en considération. Le Gouvernement (allemand) a déjà déclaré en avril de 2020 qu’il n’avait ni entrepris une enquête sur les conséquences, ni avait en vue d’en lancer une. Dans une procédure menée par une avocate devant l’Administration bavaroise, la Chancellerie de Bavière a fait savoir que jusque là, contrairement à toute la législation de l’État qui stipule que les affaires d’État doivent être tous vérifiables par écrit, il n’y avait eu aucune investigation ni contrôle par écrit des conséquences. Un tel comportement ne peut se voir que comme une grosse négligence au moins, surtout si l’on considère les rapports toujours plus graves du mal causé par le confinement aux entreprises, aux enfants, aux vieux, etc.

En effet, si l’on vient à peser les risques de part et d’autre, alors il devient évident qu’un risque que l’on pouvait calculer, pas plus dangereux pour le système de santé pris comme un tout que n’importe autre virus de grippe, s’est fait contrer par une série de contre-mesures de haut risque. Ces risques du confinement et de ses contre-mesures ne sont plus en grande partie que des risques, ils sont devenus des réalités. Ils n’ont pas produit les résultats escomptés, parce que les nouvelles infections ou tests positifs, comme le montre le nombre de morts (au moins en rétrospective), tombaient déjà lorsque le confinement est entré en vigueur. Et depuis fin juin 2020 les résultats positifs des tests semblent faire partie de ce faux bruit de fond positif qui remonte des tests. Quant aux contre-mesures ininterrompues (masques, distance-ment social, perte de revenus, fermeture des salles de concert, etc., etc.), chaque jour davantage elles mettent par terre l’économie, la santé, la vie culturelle et sociale des êtres humains en Allemagne. Entre leurs avantages et désavantages il n’y a aucune proportion, ce qui fait que les offenses qu’elles entraînent aussi contre les droits humains sont elles aussi sans proportion, et donc illégales.

Les gouvernements n’ont entrepris aucun calcul suffisant des conséquences des contre-mesures qu’ils ont imposées, omission qui leur a été explicitement rappelée par les tribunaux les plus hauts du pays. Au contraire, ceux-là ont expressément renoncé à prendre en compte tout dommage collatéral, pourtant prévisible. Comment ne pas les inculper pour un tel aveuglement ?

Courage, les catholiques et les non-catholiques – les mensonges sont loin d’avoir encore pris fin !

Kyrie eleison

Avenir du Covid?

Avenir du Covid? on novembre 7, 2020

Partout de par le monde, de plus en plus de gens observent l’énorme effort de propagande covidienne fourni par les ignobles médias et leurs gouvernements. Ils notent la disproportion frappante entre cette surabondante publicité d’une part, et les rares décès réellement dus au Covid autour d’eux d’autre part. Si bien qu’ils en viennent à penser que, derrière Covid-19, se cache bien plus que ce qu’il y paraît. Il ne fait aucun doute qu’ils ont raison. Toutefois l’identité des criminels qui se cachent derrière le Covid, et ce qu’ils cherchent en réalité, est loin d’être clair. Les matérialistes libéraux se refusent à imaginer que quelqu’un puisse être mauvais à ce point, car ils ont besoin de croire que tout le monde ici-bas est brave par nature. Mais les catholiques croyants, grâce à leur Foi, ont une chance de voir les choses autrement.

Éclairés par leur Foi, ils comprennent que la vie humaine est un temps lors duquel Dieu laisse chaque être humain choisir entre la béatitude éternelle au Ciel, en servant et en aimant la divine Trinité, ou les tourments éternels de l’enfer qui se méritent en rejetant Dieu et en refusant sa Grâce. Les armées des anges, créées avant les hommes, ont eu à faire le même choix, et c’est peut être un tiers d’entre elles qui ont prévariqué et ont été précipitées en enfer. C’est pourquoi aujourd’hui tous les anges déchus envient avec amertume les êtres humains qui ont la possibilité d’atteindre le Ciel. Aussi, font-ils tout leur possible pour entraîner avec eux ces âmes en enfer. De là vient le mal sur la terre.

Mais comment Dieu, bon et tout-puissant comme il l’est, peut-il donner une telle liberté au mal ? La raison en est que Dieu ne veut aucun robot dans le Ciel. Avec Lui, Il ne veut que des anges et les âmes qui ont fait un choix entièrement libre entre Lui et le Diable  ; Il veut des âmes qui l’ont préféré Lui à tous les attraits possibles du monde, de la chair et du Diable. Mais quand le Diable réussit à aveugler les âmes par l’erreur ou à les attirer dans ses guets-apens, alors, souvent, Dieu fait souffrir ces âmes dès ce bref séjour ici-bas, afin qu’elles réfléchissent à nouveau, qu’elles reviennent à Lui et qu’elles se sauvent pour la vie éternelle. « O Dieu, » priait saint Augustin, « punissez-moi dans cette vie, pour que vous n’ayez pas besoin de me punir dans la vie prochaine ». Et Dieu utilise souvent des anges déchus et des hommes pervers pour servir de fléaux, nécessaires comme Il le sait au salut des âmes. De là provient une bonne partie de la souffrance des hommes sur terre.

C’est pourquoi le grand mensonge du Covid est encore susceptible de prospérer un certain temps, en raison du matérialisme athée qui, aujourd’hui, retient pratiquement prisonnière une énorme quantité d’âmes. Ce matérialisme athée est l’essence du communisme, et peut nécessiter de grandes souffrances afin que les âmes en soient ébranlées. Les hommes sont profondément abusés par une fausse notion de la liberté  : cette liberté de choisir entre le bien et le mal au lieu de choisir entre deux biens possibles – car le droit inaliénable de choisir le mal n’existe pas. Mais ce sont des libéraux convaincus et toujours en croisade, qui en tiennent pour la liberté de choisir le mal. Nous l’avons vu, lors des émeutes de cet été  ; ils en tiennent pour la liberté de détruire la police, tout l’ordre public, les villes, comme tous les faibles restes de la civilisation chrétienne  ; bref ils estiment avoir la liberté de faire la guerre à Dieu. Toutes les horreurs du communisme ont régné plus de 70 ans, avant que la “Sainte Russie” n’ait commencé à revenir à Dieu. Que faudra-t-il pour que tout un monde apostat soit prêt à supplier Notre-Dame d’obtenir la pleine Consécration de la Russie ?

Selon une source récente du Canada, il faut donc s’attendre, d’ici la fin de l’année 2020, à la mise en place de restrictions pour un second confinement. On assistera à une nouvelle “vague” de décès liés à la maladie de Covid et l’on procèdera à l’acquisition ou à la construction précipitée d’”installations d’isolement” dans tout le pays. Il faut s’attendre, d’ici la fin de l’année, à des mesures de confinement beaucoup plus sévères et, autour du Nouvel An, nous verrons l’introduction du programme d’un revenu de base universel, parallèlement à un nouveau virus (Covid-21) qui submergera les installations médicales. Au printemps, il est prévu d’imposer un troisième verrouillage, toujours plus strict, un programme de revenu de base, accompagné d’importantes perturbations économiques. Pour compenser un effondrement économique international, le gouvernement offrira un allègement de toutes les dettes. Comment cela  ? Il offrira aux citoyens l’annulation de toutes leurs dettes en échange de leur abandon définitif de toute propriété, de tout actif et de l’acceptation des vaccins Covid-19 et Covid-21. Et si certains citoyens refusent ?

« Ils seront réputés représenter un risque pour la sécurité de la société et seront relégués dans des installations prévues pour les isoler, avec leurs biens saisis. »

Nous voilà avertis. On ne se moque pas de Dieu (Galates VI, 7). Prions  !

Kyrie eleison.

Un Appel admirable

Un Appel admirable on mai 30, 2020

Il y a plus de deux mois que les gouvernements dans le monde entier prennent des mesures fort coercitives à l’encontre des citoyens. Ils se fondent pour cela sur des rapports trompeurs exagérant le danger du « coronavirus » lâché par la Chine. Des experts honnêtes ont contredit ces rapports. Parmi ces mesures de coercition figuraient par exemple, début avril 2020, de sévères interdictions imposées aux catholiques voulant assister à la messe ou à tout autre office de la Semaine Sainte. A l’époque, les dignitaires de l’Église et les laïcs n’ont opposé que peu de résistance. Mais, début mai, certains hommes d’église ont publié un « Appel pour l’Eglise et le monde » qui dénonce enfin ouvertement les forces sinistres se tenant derrière cette prétendue « pandémie », même si elles ne sont pas clairement désignées. Il était grand temps que les catholiques reçussent ces indications venant d’ecclésiastiques de haut-rang, leur montrant que les loups de l’Antichrist, déguisés en amis de l’humanité, sont en train de les conduire comme des moutons à l’abattoir. Voici le résumé de cet Appel qui compte quelques 1375 mots –

Dans la crise actuelle, les dirigeants de l’Église signataires de cet appel considèrent qu’il est de leur devoir de s’adresser à tous les catholiques et à toutes les âmes de bonne volonté. Sous prétexte de coronavirus, diverses mesures gouvernementales, restreignant les libertés, ont été prises dans le monde entier en violation du droit des gens. Dans le même temps, les faits montrent que l’affolement médiatique engendré à propos du virus a été exagéré de façon disproportionnée. Nous pensons qu’il existe des puissances dont l’intérêt est de créer la peur au sein de la population mondiale afin de légitimer des formes inacceptables de restrictions permanentes des libertés, de contrôler les personnes et de pister leurs mouvements. Cela constitue un prélude inquiétant à la mise en place d’un gouvernement mondial, échappant lui-même à tout contrôle. Ces mesures ont ruiné de nombreuses économies et encouragé l’ingérence étrangère, alors qu’il incombe aux gouvernements de protéger leurs citoyens au lieu de se livrer à une ingénierie sociale provoquant la division des familles et l’isolement des individus.

Que les scientifiques disent la vérité et qu’ils se méfient des intérêts commerciaux douteux et des sociétés pharmaceutiques qui cherchent à réaliser d’énormes profits en mettant au point des remèdes coûteux pour ce virus dont on exagère le danger. Que les gouvernements évitent rigoureusement tout système de pistage ou de géolocalisation des citoyens, et qu’ils ne soutiennent en rien les organismes supranationaux qui auraient l’intention inavouée de le faire par intérêt commercial et politique. Que les citoyens restent libres de refuser les vaccins, et que les prétendus « experts » ne bénéficient d’aucune sorte d’immunité contre d’éventuelles poursuites. Que les médias disent la vérité et ne pratiquent pas les diverses formes de censure qu’on rencontre actuellement, aux fins d’imposer une pensée unique, ce qui constituerait une dictature masquée de l’opinion, d’autant plus efficace qu’elle est imperceptible.

Enfin et surtout, que chacun se souvienne que Notre Seigneur Jésus-Christ a accordé à son Église une indépendance totale vis-à-vis de l’État pour adorer Dieu ainsi que pour enseigner et gouverner les hommes comme elle l’entend, en vue de la gloire de Dieu et du salut des âmes. L’État ne peut s’immiscer dans les décisions de l’Église concernant ses propres affaires ; il ne peut limiter en rien la souveraineté de la véritable Église de Dieu, ni restreindre ou interdire de quelconque manière le culte public ou le ministère des prêtres catholiques dans l’exercice de leur fonction sacerdotale. Par conséquent, que toutes les restrictions imposées au culte catholique en raison du corona virus soient levées. Si les citoyens ont des devoirs envers l’État, ils ont aussi des droits incluant le respect de la loi naturelle et la priorité des intérêts de Dieu.

Nous luttons contre un ennemi invisible cherchant à diviser les individus à séparer les enfants des parents, les petits-enfants des grands-parents, à couper les croyants de leurs prêtres, les étudiants des enseignants, etc., bref à effacer des siècles de civilisation chrétienne par une odieuse tyrannie technologique dans laquelle des personnes anonymes et sans visage décident du sort du monde entier en nous confinant dans une bulle virtuelle. Mais le Christ vaincra. Nous prions pour les chefs d’Etat qui ont une responsabilité particulière devant le tribunal de Dieu. Nous supplions Notre Seigneur de protéger son Église. Et que Notre-Dame fasse échouer les plans des enfants de ténèbres.

Cet appel a été signé par des dizaines d’éminents laïcs, et par plusieurs hommes d’église de premier plan.

Kyrie eleison.

« Post-Modernité » – II

« Post-Modernité » – II on août 31, 2019

Au risque de fatiguer les lecteurs en proposant encore des variations sur le thème de la Vérité, ces « Commentaires » vont ajouter quelques considérations au résumé donné ici la semaine dernière sur le livre La Culture comme religion de Wojcieck Niemczewski. Rappelons qu’il s’agit de l’interprétation post-moderne du rapport de la culture avec la religion. Notre grand but est toujours de sauver notre âme. Or l’un des plus grands dangers nous empêchant d’assurer notre salut, réside dans l’aveuglement de notre faculté la plus haute, c’est-à-dire notre intelligence, entraînant immédiatement la corruption de notre volonté. Et le danger le plus grave menaçant notre esprit aujourd’hui est l’attitude universelle selon laquelle les idées sont indifférentes, car la vérité est sans importance. Voyez par exemple comment Vatican II a préféré la modernité au catholicisme fidèle, notamment dans le document conciliaire Gaudium et Spes, et comment la Fraternité Saint Pie X a préféré les Romains conciliaires à son fidèle Fondateur ; et voyez, dans chaque cas, comment la grande majorité des prêtres et des laïcs ont suivi.

Commençons par mettre de l’ordre dans les pensées de Niemczewski, afin de voir d’où il part et où il va : 1 – Il n’existe pas de Dieu objectif. « Dieu » n’est qu’une fabrication subjective en chacun de nous. 2 – C’est pourquoi les vieilles « vérités » de la religion et de la philosophie d’hier n’ont plus de fondement aujourd’hui. 3 – De plus, ces vérités sont déphasées par rapport à la réalité d’aujourd’hui, car le monde évolue de plus en plus vite dans tous les domaines. 4 – Pire encore : ces vielles idées bloquent le progrès moderne ou la « culture du choix », qui permet de nous adapter au changement et qui garantit à chacun la liberté de construire son propre mode de vie. 5Pour rester compatible avec la modernité, l’homme post-moderne doit accepter cette « culture du choix » qui n’a rien d’universel ni d’obligatoire, qui n’impose ni normes ni aucun être supérieur à l’homme. 6 – En conclusion, la vérité doit céder le pas à la liberté, la religion à la culture et la finalité à la dérive. 7 – C`est pourquoi : A bas la vérité ! et Vive la « culture du choix » !

Hélas pour l’homme post-moderne ! Il existe bel et bien une réalité en dehors de son esprit ; elle est toute proche de lui, comme le sont ses bras et ses jambes ; et cette réalité extra-mentale possède ses propres lois qui ne dépendent en rien de son esprit. Par exemple, s’il a mal aux dents, il devra aller chez le dentiste et non chez le poissonnier. Et ces lois ne sont pas seulement physiques : elles sont aussi morales. Par exemple, si une pauvre fille se fait avorter, elle ne pourra pas faire taire ses remords, quoi qu’elle en ait envie. Le libre arbitre de chaque individu est incontestablement libre – d’où la possibilité de cette « culture du choix » de Niemczewski. Mais cette culture du choix ne peut fonctionner qu’au-dedans du cadre structuré des lois de la réalité extra-mentale, qu’elle soit physique ou morale, et pas en-dehors. Ainsi je suis libre de choisir pour mon éternité le Ciel ou l’Enfer, mais je ne suis pas libre d’ enfreindre sérieusement la loi morale et en même temps d’ aller au Ciel.

Les philosophes grecs de l’Antiquité ont vécu plusieurs siècles avant l’Incarnation de Notre Seigneur, en sorte qu’ils n’ont bénéficié ni de la grâce ni de la Révélation surnaturelles. Mais rien qu’avec les moyens naturels ils ont observé, sans inventer quoi que ce soit, les conséquences graves et inévitables lorsque l’homme prétend s’élèver contre la structure morale de la vie humaine, et à cette prétention ils ont donné un nom : «  hubris ». Aujourd’hui nous parlerions d’ « orgueil ». Ainsi, la présentation que fait Niemczewski de la « culture du choix » commence en niant Dieu et s’achève en le bravant. Mais si Niemczewski peut ainsi faire pencher l’esprit des hommes en faveur de cette « culture », il ne peut absolument pas faire plier l’éternelle et ineffable Existence de Dieu, ni l’éternelle et absolue nécessité de la Vérité. Par exemple, affirmer qu’il n’y a pas de vérité, c’est encore prétendre que cette opinion est vraie. Par conséquent, en niant tous les dogmes ou seulement certains d’entre eux, c’est encore être dogmatique : et personne n’est aussi dogmatique que les francs-maçons. De même, dans leur travail de sape subjectif de toute doctrine, personne n’est aussi doctrinaire que les modernistes ou néo-modernistes.

En bref, un homme comme Niemczewski refuse de reconnaître qu’ autour de l’aire où l’humanité opère ses choix, se trouve un anneau de réalité qui échappe à notre pouvoir de choisir. Les ecclésiastiques de Vatican II refusent de reconnaître que le Dépôt de la Foi ne peut être modernisé, et les dirigeants de la Néo-fraternité Saint Pie X refusent de reconnaître que les Romains conciliaires sont des bonimenteurs. La « culture du choix » risque de finir par leur coûter cher à tous. Cela peut aller jusqu’à leur coûter leur éternité, s’ils ne veulent pas revenir au bon sens catholique.

Kyrie eleison.

“Holocaustianisme”

“Holocaustianisme” on février 2, 2019

Bien des catholiques semblent croire que ce qu’on appelle “l’Holocauste” n’a rien à voir avec la religion. Ils se trompent lourdement. Voici deux paragraphes (légèrement adaptés) du bel hommage rendu au Professeur Robert Faurisson, mort en octobre, par Jérôme Bourbon, courageux rédacteur en chef de l’excellent hebdomadaire parisien Rivarol :—

Par ses travaux et sa fameuse phrase de soixante mots le Professeur Robert Faurisson a non seulement menacé les fondements idéologiques de l’ordre mondial issu de la dernière guerre mondiale, mais il a contesté une véritable religion, ou plutôt une contre-religion : l’Holocaustianisme. C’est un culte qui ne souffre pas que l’on manque de déférence ou de soumission à son endroit. C’est un faux dieu qui exige que l’on brûle sans cesse l’encens devant lui, qu’on l’adore, qu’on rallume la flamme comme à Yad Vashem, qu’on offre des fleurs et qu’on élève des lamentations vers le Ciel comme lors des pèlerinages et processions à Auschwitz et ailleurs, en battant sa coulpe et en s’écriant « plus jamais ça ».

L’Holocaustianisme, enseigné dès l’école primaire et tout au long de notre existence par la télévision, le cinéma, les spectacles, singe en effet la religion catholique. Elle a ses martyrs (les Six Millions), ses saints (Elie Wiesel, Anne Frank ), ses miraculés (les survivants de l’Holocauste), ses stigmatisés (les déportés avec leur numéro tatoué sur le bras), ses pèlerinages à Auschwitz, ses temples et ses cathédrales (les musées de l’Holocauste et autres monuments commémoratifs), ses aumônes pour être absous de ses fautes (les réparations financières incessantes en faveur de l’État d’Israël et des survivants de l’Holocauste), ses reliques (les dents, les cheveux, les souliers des déportés), son hagiographie (les livres d’Elie Wiesel, d’Anne Frank), ses lieux de supplice (les chambres à gaz), son Évangile (le verdict du tribunal militaire de Nuremberg), ses grands prêtres et ses pontifes (Simon Wiesenthal), son Inquisition (les tribunaux civils dotés d’un arsenal répressif anti-révisionniste), sa législation contre le blasphème (interdisant formellement toute remise en cause de l’Holocauste), sa cité sainte ( la Jérusalem moderne), ses prédicateurs et ses gardiens (les enseignants et toutes les Associations, qu’il s’agisse de politique, de religion, de sport, d’économie, des média ou des syndicats), ses Congrégations religieuses (le Congrès juif mondial, le B’nai B’rith, l’AIPAC, etc., etc . . . . ), son enfer (pour tous les nationalistes, – sauf les Israéliens –, pour les révisionnistes, pour ceux qui ajoutent foi au déicide, et qui croient que le Nouveau Testament a remplacé l’Ancien), et pour finir, ses fidèles (la quasi-totalité de l’humanité).

Ce culte de l’Holocauste ne se contente pas de singer la religion chrétienne ; il en est une véritable contrefaçon : à l’amour, il oppose la haine ; à la vérité, le mensonge ; au pardon des offenses, la vengeance talmudique ; au lieu de respecter les personnes âgées, il traque les anciens gardiens des camps ; à l’esprit de pauvreté il oppose la récupération des dommages de guerre ; à l’humilité, la volonté de domination ; au sens du partage, l’esprit de lucre ; à la charité, le chantage ; au respect d’autrui, le lynchage ; au silence du recueillement, le tapage de la mise en accusation médiatique ; à la justice infinie de Dieu, la partialité d’un tribunal de vainqueurs jugeant les vaincus, etc, etc . . .

Voici donc un sonnet pour honorer ce que le professeur Faurisson a fait pour en finir avec ce fléau de l’humanité.

“La Vérité est puissante et elle l’emportera”, disaient-ils.
Une race répondit : “Certes non !” la Vérité c’est nous qui la faisons !
“Car de race supérieure, de tous les hommes nous sommes la tête,
Notre vérité, tous nos inférieurs doivent l’accepter !”
C’est ainsi qu’apparut toute une mythologie, et
De deux guerres mondiales, cette race a modifié l’histoire.
Aux faibles d’esprit, elle a imposé les chambres d’horreur,
Pour fabriquer un dieu que tout le monde doit adorer.
Mais un frêle Français a bravé ces mensonges racistes.
“D’une vraie telle chambre montrez-nous l’image – une seule !”
Mais il n’y eut ni photo ni image. Poussant des cris
De rage, la race maîtresse savait que la Vérité était sauve.
Professeur incroyant, c’est pour toutes les races
Que Dieu vous a choisi pour sauver la vérité.

Kyrie eleison.

Guerre Évitée ? – II

Guerre Évitée ? – II on avril 28, 2018

Les commentateurs politiques, même les meilleurs, ne font que rarement état des véritables sources de l’histoire qui sont religieuses. Car Dieu gouverne l’homme et la relation de l’homme avec son Dieu (la religion) gouverne ses relations avec ses semblables (la politique) ; si bien que la religion gouverne bel et bien la politique. C’est pourquoi un commentateur des faits religieux ne peut faire l’impasse sur l’aspect religieux en abordant un problème politique, même si la plupart des « sans-Dieu » souhaitent clairement que les commentateurs politiques n’en parlent pas. Sans doute, le Dieu Tout-Puissant est-il actuellement mal perçu sur la scène internationale, mais en est-il pour autant le Maître moins absolu ?

Il a été question la semaine dernière dans ces « Commentaires » de la religion en tant que facteur se trouvant à l’origine de la politique. C’était à propos de cette race d’hommes qui, par ses mensonges, relayés par les medias, et la pression militaire, cherche à déclencher la troisième guerre mondiale. Cependant, les armes modernes sont si meurtrières qu’on peut se demander qui, sur terre, pourrait penser qu’il y a plus à gagner qu’à perdre dans un conflit mondial. Seule une race d’hommes, absolument sûre de sa supériorité sur tous les autres hommes ; une race tellement convaincue qu’elle mérite de gouverner toute l’humanité qu’elle estime avoir le droit et le devoir de manipuler les événements mondiaux jusqu’à ce qu’elle parvienne à cette domination par des moyens bons ou mauvais, car cette fin est tellement sacrée qu’elle justifie par elle-même tous les moyens. Sacrée ? La destruction de l’humanité serait-elle sacrée ? Oui, un sens tordu du mot sacré donne la clé de cette folie : « Nous, peuple élu, avons une mission sacrée au point que : ou bien nous gouvernerons le monde, ou bien nous devons le détruire, et nous avec lui ! »

Le problème vient de ce que, d’Abraham à Jésus-Christ, ils furent vraiment la race choisie par Dieu pour être le berceau et la rampe de lancement pour l’incarnation du Verbe. Pendant deux mille ans, ils devaient rester strictement séparés du reste des hommes, élevés au-dessus des autres peuples, privilégiés ou bien punis, si nécessaire, par des dispositions spéciales ; en tout cas traités de telle manière qu’ils purent fournir au divin Fils sa nature humaine, sa mère et ses amis, sa race et son milieu afin que, en tant que leur Messie, il pût racheter tous les hommes de leurs péchés. Si un adage africain dit qu’il faut un village pour faire un enfant, que n’a-t-il pas fallu pour faire la Très Sainte Vierge Marie ? De cette race, on peut dire aujourd’hui tout le mal qu’on voudra, mais de cet essentiel point de vue religieux, ils ont accompli leur mission. Ce qui est dramatique, c’est que, lorsque le Messie vint parmi eux et leur apporta la preuve que Sa mission était de conquérir le monde pour le Royaume des Cieux et non pour leur propre gloire, ils le crucifièrent. Et depuis lors, ils l’ont toujours collectivement renié. Ils se sont mis ainsi, en tant que Race du Messie haïssant le Messie, dans une situation pathologique sans issue, à moins qu’ils ne se convertissent individuellement au Christ qu’ils ont tant détesté.

De cette pathologie, ou plutôt de cette théologie qui marque les juifs depuis maintenant deux mille ans, découle une cascade de conséquences essentielles à une lecture correcte des événements mondiaux d’aujourd’hui. Mais les conclusions les plus importantes à tirer sont les suivantes : d’abord et avant tout, si le Dieu Tout-Puissant permet délibérément à un petit nombre de Juifs d’avoir la haute main sur le chaos et la corruption d’un grand nombre de gentils, c’est uniquement dans le but de ramener ces Gentils à Lui. En effet, la seule et unique chose que les Juifs ne peuvent manipuler à leur guise, c’est la vraie foi de la seule véritable Église. Dieu n’a pas créé le monde ni l’Église Catholique pour que toutes les âmes tombent en enfer, au contraire : chaque fois que des âmes s’accrochent à la vraie Foi, elles reprennent en main leur « victoire sur le monde » (I Jn V, 4). Rien ni personne ne peut les forcer à abandonner cette foi. S’ils le font, en fin de compte ils ne peuvent en accuser personne d’autre qu’eux-mêmes.

Que chacun d’entre nous tourne donc son cœur et son esprit vers le seul vrai Dieu de la seule et véritable Église (pas celle de Vatican II). Alors, les ennemis de Dieu, Juifs ou Gentils, ne pourront que perdre leur pouvoir actuel. Ici et pas ailleurs se trouve le vrai remède à la corruption mondiale et au chaos actuels. Prions, si possible tous les jours, tous les quinze Mystères du Saint Rosaire de la Vierge Marie, de la Sainte Mère de Dieu, la personne humaine la plus grande qui ait jamais vécu ici-bas – et qui était Juive.

Kyrie eleison.