antisémitisme

Vérité Historique – III

Vérité Historique – III on septembre 30, 2017

Notre « civilisation » occidentale se trouve maintenant plongée dans un effroyable châtiment : nous perdons totalement la notion du réel. C’est la punition réservée à ceux qui persistent dans le mensonge. Les gens ne sont plus capables de discerner le vrai du faux, ni l’imaginaire de la réalité. L’imaginaire paraît certes plus agréable, mais hélas, la réalité finit toujours par reprendre ses droits. Plus on s’attache à l’imaginaire, plus dur est le retour au réel. Les deux guerres mondiales du siècle dernier n’ont-elles pas été un violent rappel à la réalité ? Actuellement, nous nous dirigeons vers une troisième guerre, car la préférence pour l’imaginaire s’élève au rang d’une idéologie. Venant d’un site qui s’efforce de respecter la vérité, voici une histoire montrant clairement comment s’opère le passage du mensonge à l’idéologie.

En 2009, Herman Rosenblat, Américain d’origine polonaise, a rédigé de touchants souvenirs sur l’Holocauste. Avant même la publication du script, les droits d’auteur ont été vendus 25000 $. LAnge à la clôture du camp ( Angel at the fence ), raconte comment Rosenblat, emprisonné pendant la seconde guerre mondiale dans le camp de concentration de Buchenwald, rencontrait à la clôture extérieure du camp, une fillette de neuf ans qui lui lançait des pommes et du pain par-dessus la clôture. A la fin de la guerre, ils se sont perdus de vue. Il émigra aux États-Unis. Des années plus tard, à New York, il recourut à une agence matrimoniale pour trouver une épouse ; mais devinez qui se présenta au rendez-vous ? L’ange de la clôture en personne, maintenant devenue femme ! Il la reconnut immédiatement, la demanda en mariage ; elle accepta, et c’est ainsi qu’ils ont vécu heureux depuis.

Comment ne pas être touché par cette histoire ? Tout le monde y a cru, car le récit de Rosenblat laissait entendre que cela s’était réellement passé. Toutefois, en vérifiant cet écrit, des chercheurs démontrèrent, d’après des faits remontant à la guerre, que l’histoire de Rosenblat était un pur produit de son imagination. Par exemple les détenus de Buchenwald étaient dans l’impossibilité de s’approcher de la clôture extérieure du camp. C’était donc, une fois de plus, une “fausse histoire de l’Holocauste”. Mais, voilà qu’un visiteur régulier du site mentionné ci-dessus, un certain Seymour Zak, protesta avec véhémence, disant qu’il n’existe pas de « fausse histoire de l’Holocauste ». Son raisonnement a de quoi effrayer. Voici ce qu’il dit :

Les antisémites ne cessent d’incriminer les “fausses histoires de l’Holocauste”. Mais ces récits doivent se comprendre dans une perspective plus positive : selon “la vérité de l’imagination” comme dit le célèbre poète John Keats. Supposons qu’un événement soit perçu comme vrai par l’esprit, alors que, à strictement parler, rien ne s’est passé. Si, par la suite, cet événement est considéré comme une vérité vivante par des millions d’autres personnes bien intentionnées qui ont eu connaissance de cette version sublimée de la réalité, alors on ne peut en aucun cas la rejeter comme un “mensonge” ( . . . ) Prises dans un sens métaphysique plus élevé, toutes ces histoires sont vraies ; les nier, c’est commettre un sacrilège ( . . . ) Nous avons un devoir sacré envers les six millions d’hommes morts sous la tyrannie maléfique du dictateur nazi Adolf Hitler, nous devons conserver le souvenir des morts et rejeter avec mépris tout ce qui tend à nier l’Holocauste sous prétexte de “fausses histoires de l’Holocauste”. Je le répète : il n’y a pas de fausse histoire de l’Holocauste. Qu’elle se soit passée ou non, toute histoire de l’Holocauste est vraie ; 100 % vraie. ( . . . ) Selon les mots sublimes d’Elie Wiesel : “En littérature, certaines choses sont vraies bien qu’elles n’arrivèrent pas, tandis que d’autres ne sont pas vraies, alors qu’elles arrivèrent de fait”.

Si l’on suit le raisonnement de Seymour Zak, il est donc superflu de savoir si les six millions en question sont morts ou non “sous la tyrannie . . . ”. Ce qui compte, c’est que les 6,000,000 constituent une “version sublimée de la réalité qui, dans l’esprit de millions de personnes bien intentionnées, s’impose comme une vérité bien vivante, etc.”. Et, de ce fait, déclarer qu’elles ont été exterminées, alors qu’en réalité, elles ne l’ont pas été, n’a rien d’un mensonge, car il s’agit d’une vérité plus haute ! C’est dire que la réalité n’est plus la mesure de la vérité, surtout quand il s’agit de cette vérité supérieure, quasi-religieuse, de ce “devoir sacrée” interdisant, sous peine de “sacrilège”, de nier l’Holocauste. En d’autres termes, il existe une réalité historique et une réalité non-historique, mais seule la seconde mérite le nom de « réalité » !

C’est de la folie furieuse, mais voilà qu’elle imprègne toujours plus la société qui nous entoure. Et nous, êtres humains, qui sommes des animaux sociaux, nous nous trouvons forcément influencés par la société. Catholiques ! – et vous, les non-catholiques ! – si vous voulez garder la tête au-dessus des flots de cette folie qui monte, récitez tous les jours les 15 Mystères du Saint-Rosaire. A elle seule Notre Dame est capable de préserver votre santé mentale. Ces « Commentaires » n’ont pas d’autre remède à proposer.

Kyrie eleison.

L’ « Antisémitisme » Trompeur.

L’ « Antisémitisme » Trompeur. on juin 18, 2016

Il y a des mots insidieux qui semblent vouloir dire une chose mais dont on profite pour en faire dire une tout autre. L’un des mots les plus insidieux qui soit est « antisémitisme ». Le vocable semble suggérer une opposition à tous les Juifs purement et simplement parce qu’ils sont Juifs, et dans ce sens il condamne avec raison quelque chose de mauvais, car certains Juifs sont malfaisants, mais certainement pas tous. D’un autre côté, il est souvent utilisé pour condamner absolument toute opposition à tout ce que font tous les Juifs, et dans ce cas le vocable condamne à tort quelque chose de bien, car chaque fois que les Juifs font quelque chose de mauvais, il est bon de s’opposer à eux. Mais les Juifs font-ils jamais quelque chose de mauvais ? Bien sûr que oui. C’est eux qui ont créé l’Islam pour les Arabes, la Franc-maçonnerie pour les Gentils et le Communisme pour le monde moderne, et toutes ces trois malédictions pas pour autre chose que pour combattre Jésus-Christ et la chrétienté, et pour envoyer ainsi beaucoup d’âmes en Enfer.

Un livre que tout Catholique devrait lire qui veut défendre l’Église contre l’Islam, la Franc-maçonnerie et le Communisme, aujourd’hui le Globalisme, c’est Le complot contre l’Église de Maurice Pinay . Le livre fut écrit juste avant Vatican II pour être remis entre les mains de tous les Pères du Concile, afin de les avertir du grand danger qui menaçait l’Église au Concile. En effet. Les Pères du Concile finirent par louer l’Islam ( Unitatis Redintegratio ), adopter les principes maçonniques ( Dignitatis Humanæ ) et ne jamais mentionner, encore moins condamner, le système diabolique du Communisme. Voici comment, dans son chapitre « Antisémitisme et Christianisme », Maurice Pinay montre la perfidie du vocable « antisémitisme » :—

Depuis des temps immémoriaux les Juifs utilisent des mots vagues avec une variété de significations, écrit Pinay, pour piéger les esprits des Gentils et les empêcher de se défendre contre l’avance juive vers la domination du monde dans cette guerre de 2000 ans contre la chrétienté qu’il documente minutieusement à travers son livre. Aussi dans une première étape cherchent-ils à pousser les Gentils à condamner « l’antisémitisme » dans le sens premier présenté ci-dessus, comme opposition à tout ce qui est Juif, par trois arguments : premièrement, le Christ, en établissant l’égalité de tous les hommes devant Dieu, a condamné une telle dégradation de toute une race ; deuxièmement, le Christ a dit à tous les hommes de « s’aimer les uns les autres » ; troisièmement, le Christ et sa Mère étaient Juifs tous les deux.

Mais dans une deuxième étape, une fois obtenue la condamnation par les Gentils d’un vague « antisémitisme », les Juifs attribuent au vocable une signification bien différente, le deuxième sens ci-dessus, à savoir l’opposition à tout ce que font les Juifs. Ainsi deviennent « antisémites » : tous les patriotes exerçant leur droit d’auto-défense à l’encontre de la subversion juive de leur nation ; tous les défenseurs de la famille contre les erreurs et les vices de toute sorte fomentés par les Juifs pour la dissoudre (par exemple la pornographie et l’avortement) ; tous les Catholiques défendant leur sainte religion contre toute forme de corruption ouvertement ou secrètement promue par les Juifs pour la miner ; tous les diseurs de vérité démasquant les Juifs comme étant à l’origine de la Franc-maçonnerie et du Communisme (aujourd’hui Globalisme et féminisme, etc.) ; et enfin tous ceux en général qui s’opposent à la subversion juive de l’Église et de la civilisation chrétienne. Et par leur contrôle de la politique, de la finance, des films et surtout par leurs medias, les Juifs ont réussi à donner une charge électrique à ce petit vocable « antisémite », suffisante pour électrocuter quiconque il touche.

Mais à qui la faute de leur avoir permis de contrôler la politique et la finance ? Et qui a permis leur monopolie virtuelle de l’industrie du film et les medias ? Et qui croit qu’il est génial d’avoir éliminé toute censure, pour coopérer maintenant avec eux pour établir leur propre censure de l’internet ? Dans chaque cas ce sont les non-juifs qui de par leur libéralisme même se font actuellement les esclaves, minute par minute, du Nouvel Ordre Mondial des mêmes gens. Docteur, guérissez-vous vous-même ! Qui lit leurs journaux ou regarde leurs programmes à la télévision n’a qu’à s’en prendre à lui-même s’ils s’emparent de son esprit et de sa civilisation.

Catholiques, lisez Le complot contre l’Église. Si quelqu’un est accusé d’être « antisémite », il est fort possible qu’il ait raison d’en être fier.

Kyrie eleison.

Israelites, Israeliens?

Israelites, Israeliens? on août 9, 2014

Admettons alors (CE 368) que les ordres du Bon Dieu d’exterminer certains peuples dans l’Ancien Testament (par exemple I Sam. XV) aient été un acte de justice et de miséricorde envers les païens eux-mêmes, et un acte destiné aussi à aider les israélites à former le berceau du Dieu Incarné, Notre Seigneur Jésus-Christ, lorsqu’Il viendrait mille ans plus tard. Ce berceau les israélites l’ont effectivement fourni, particulièrement par la Très Sainte Vierge Marie, à laquelle la race humaine tout entière a une dette de gratitude sans limites. Si l’un de nous parvient finalement au Ciel, ce sera seulement par son intercession.

Quel rapport, alors, peut-il y avoir entre ces Juifs à travers lesquels vient le salut (Jn. IV, 22) et l’ensemble des Juifs d’aujourd’hui qui massacrent la Palestine ou qui soutiennent moralement ou financièrement le massacre ? La majorité des Juifs d’aujourd’hui étant des Juifs Ashkénazes, ils peuvent bien ne pas être descendants, par le sang, d’Abraham, mais quoiqu’il en soit ils ont certainement absorbé à travers le Talmud, le livre sacré du Judaïsme post-chrétien, ce que Notre Seigneur appelait « le levain des pharisiens et des sadducéens » (Mt.XVI, 11), pour signifier l’esprit de ses ennemis acharnés qui le crucifièrent et qui ont combattu son Église depuis lors. Comment son Peuple Choisi est-il venu à se ranger de façon si constante parmi ses pires ennemis ? (Si la seule question peut paraître « antisémite », on doit rappeler que la vérité est bonne tandis que l’ « antisémitisme » est mauvais, de telle sorte que rien de vrai ne peut être « antisémite » et rien d’ « antisémite » ne peut être vrai. Ce qui suit est la vérité, et n’a absolument rien à voir avec le soi-disant « antisémitisme »).

En premier lieu, si le Peuple Choisi s’est retourné contre son Dieu, le problème peut paraître chronologique, mais dans le fond il ne l’est pas. A travers tout l’Ancien Testament il y eut des israélites qui se retournèrent contre Dieu, par exemple les adorateurs du veau d’or ou les Juifs exilés à Babylone. Très souvent Dieu a dû punir son propre peuple « à la nuque raide » et rebelle. De même depuis le début de Nouveau Testament jusqu’à nos jours il y a toujours eu des convertis Juifs célèbres, comme Saint Paul qui fut aussi Juif qu’on peut l’être (cf. Rom.IX, 1–5 ; II Cor.XI, 21–22 ; Phil.III, 4–6). La différence entre les israélites et les israéliens est la même différence qu’il y a toujours eu entre ceux de n’importe quelle race qui aiment Dieu et ceux qui se rebellent contre Lui. La vraie ligne « judéo-chrétienne » s’étend d’Abel à travers, par exemple, Abraham, Moïse, David et la Mère de Dieu jusqu’à l’Église catholique. La fausse ligne « judéo-chrétienne » mais vraie ligne « judéo-maçonnique » s’étend depuis Caïn qui fut maudit, à travers par exemple, les Juifs qui tuèrent les prophètes de Dieu, jusqu’à Anne et Caïphe et la franc-maçonnerie moderne, qui fut créée par les Juifs et qui est toujours contrôlée par les Juifs dans le but de combattre l’Église catholique, même s’il y a de nombreux maçons qui ignorent le fait.

Fort bien, mais le contraste entre israélites et israéliens n’est-il pas particulièrement accentué ? Oui, car selon le vieil adage, « Plus ils étaient élevés, plus dure est la chute ». Une fois que le Peuple Choisi a refusé d’être le serviteur particulier de Dieu, comme ils l’ont largement fait depuis l’Incarnation et depuis lors, ils furent amenés à devenir les servants particuliers du Diable. Pour eux il ne pouvait y avoir un état intermédiaire entre les deux. Et qu’y avait-il derrière ce refus ? En un seul mot : l’orgueil. Au lieu d’utiliser pour la gloire de Dieu les dons particuliers dont Il les avait comblés, ils les détournèrent en vue de leur propre gloire à eux. Donc même avant la venue de leur Messie, ils le considéraient déjà d’une façon erronée comme leur sauveur matériel et non spirituel, en sorte que lorsqu’Il vint, ils refusèrent de le reconnaître, et depuis lors ils l’ont combattu pour avoir remplacé leur religion mosaïque, racialement exclusive, par la religion catholique ouverte à toutes les races.

Et que peuvent faire les Catholiques pour résister à la domination matérielle des Juifs qui corrompt tout autour de nous ? Matériellement, pratiquement rien, mais une seule âme qui prie spirituellement et sincèrement pour le royaume de Dieu à venir et pour que Sa volonté soit faite, peut obtenir de Dieu qu’Il fasse sauter les montagnes matérielles, jeu d’enfant pour Dieu. Il ne permet cette domination des Juifs que dans le but de nous ramener à Lui.

Kyrie eleison.

GREC – II

GREC – II on mars 9, 2013

Avant de continuer l’histoire du GREC, le groupe Parisien de laïcs et de prêtres qui se réunissaient à partir de la fin des années 1990 en vue de réaliser une réconciliation entre Vatican II et les catholiques Traditionalistes, découvrons l’attitude fondamentale des participants du GREC. L’avenir de l’Église dépend des catholiques qui comprendront à fond l’erreur du GREC, c’est-à-dire à quel point les esprits modernes perdent prise sur la vérité. Pour illustrer cette attitude, prenons au hasard quatre citations typiques, prises parmi des douzaines et des douzaines de semblables dans le livre « Pour la Nécessaire Réconciliation » du prêtre de la Nouvelle Église, le Père Michel Lelong, un des fondateurs du GREC. Dans une lettre qu’il écrivit au Pape en juillet 2008 on trouve les deux premières citations :—

« Nous souhaitons aussi que les excommunications (des quatre évêques de la FSPX en 1988) puissent être levées et que la FSPX retrouve sa place dans l’Église où elle a tant à apporter. C’est pourquoi nous demandons aux responsables de cette FSPX que cessent les déclarations et articles polémiques qui critiquent le Saint Siège ». Commentaire : (La polémique dans la FSPX n’a-t-elle pas en effet presque disparu au cours de ces dix dernières années ?) Mais si la polémique est si mauvaise, pourquoi donc bon nombre de Pères de l’Église – et Mgr. Lefebvre – furent-ils si polémiques ? La polémique n’est mauvaise que dans la mesure où l’unité est bonne. Mais l’unité n’est bonne que dans la mesure où ce autour de quoi elle unit est bon.

« Dans notre société si tentée par le matérialisme, l’indifférentisme et les sectarismes, nous pensons que, répondant à votre demande, Très Saint Père, tous les catholiques doivent chercher ensemble à être fidèles à cette recommandation du Christ : ‘Soyez un pour que le monde croie’. » Commentaire : « Soyez un » autour de quoi ? Autour de la vérité catholique, ou autour du mensonge selon lequel la vérité catholique peut se concilier avec Vatican II ? Et donc la question primordiale et cruciale pour l’unité catholique, c’est où se trouve la vérité catholique. Mais le GREC veut laisser aux « théologiens » les questions concernant la vérité. Alors les non-théologiens peuvent se sauver par des mensonges ! ?

Cette lettre du Père Lelong fut si bien reçue par Benoît XVI que les chefs et des sympathisants du GREC écrivirent de nouveau quelques mois plus tard. Voici encore deux citations, de cette deuxième lettre au Pape :—

« Certes, nous avons été attristés que les récentes propositions du Saint Siège n’aient pas été acceptées par les responsables de la FSPX, mais nous savons que la réparation des déchirures entre catholiques nécessite toujours la générosité et patience pour rétablir la confiance réciproque et permettre la réconciliation ». Commentaire : Toutes les déchirures doivent-elles nécessairement être soignées, et jamais infligées ? Est-ce que Notre Seigneur n’a pas fait usage d’un fouet sur le dos des prêteurs d’argent dans le Temple ? Il y a un Dieu, et son honneur doit être défendu par-dessus toutes choses, tandis que les hommes peuvent être méchants au point de ne rien comprendre d’autre que le fouet, qu’il soit physique ou verbal.

« Nous pensons que la levée des excommunications enclencherait un processus inéluctable d’approche, en vue d’accords entre le Saint Siège et la FSPX, ou au moins d’accords avec une grande partie des prêtres et des fidèles de la FSPX ». Commentaire : il est vrai que les contacts amicaux entre Rome et la FSPX enclenchèrent ce processus au mois de janvier 2009 et que seule une explosion depuis l’intérieur de la FSPX de l’hérésie la plus horrible des temps modernes –« l’antisémitisme » – bloqua ce processus. Mais, soit une réconciliation catholique avec Vatican II ne pose aucun problème, soit on doit dire que cette explosion fut providentielle, parce qu’elle a eu aussi comme résultat de bloquer, au moins pour un temps, la fausse réconciliation.

En conclusion, le GREC, comme des millions de catholiques modernes, cherche par-dessus tout l’unité, la suspension de toute polémique, la réconciliation, un accord, etc. Mais où donc le Dieu de vérité figure-t-il parmi tous ces sentiments si doux ? Est-Il un papa bonasse qui bénit tous les mensonges des hommes, à la seule condition qu’ils mentent à l’unisson ?

Kyrie eleison.

L’Orgueil des Ancêtres

L’Orgueil des Ancêtres on octobre 15, 2011

Au deuxième volume de sa vie de Jésus publié au début de l’année, le Pape Benoît XVI s’est exprimé sur la mort de Jésus de façon à permettre aux journalistes de conclure hâtivement qu’il ne faut plus imputer aux juifs la responsabilité du déicide, c’est-à-dire d’avoir mis à mort Dieu. Pire encore, le 17 mai le directeur exécutif du Secrétariat pour les Affaires Œcuméniques et Interreligieuses de la Conférence Episcopale des Etats-Unis a affirmé qu’à aucun moment de l’histoire on ne peut accuser les juifs de déicide sans se mettre hors de la communion de l’Eglise catholique. A l’encontre de ce que beaucoup de gens veulent croire aujourd’hui, il est temps de rappeler, même brièvement, ce qu’enseignait toujours l’Eglise sur le meurtre judiciaire de Jésus.

D’abord le meurtre de Jésus fut vraiment un « déicide », c’est-à-dire meurtre de Dieu, parce que Jésus fut une des trois Personnes divines qui outre sa nature divine avait assumé une nature humaine. Qu’est-ce qui fut tué sur la Croix ? Seulement la nature humaine. Mais qui fut tué sur la Croix dans sa nature humaine ? Personne d’autre que la deuxième Personne divine, c’est-à-dire Dieu. Donc c’est bien Dieu qui a été tue, autrement dit, c’est le déicide qui a eu lieu.

Ensuite Jésus est mort en croix pour nous sauver tous, tous les hommes pécheurs, de nos péchés, et dans ce sens-ci il est vrai que tous les hommes furent et sont le but de sa mort. Mais uniquement les juifs (chefs et peuple) ont été les principaux agents du déicide parce que dans les Evangiles il saute aux yeux que le non-juif le plus impliqué, Ponce Pilate, n’aurait jamais condamné à mort Jésus si les chefs juifs n’avaient d’abord incité le peuple juif à réclamer sa mise en croix (Mt. XXVII, 20). Certes, les chefs éduqués étaient plus coupables que le peuple ignorant, dit St. Thomas (Somme III, 47, 5), mais tous ensemble ils ont hurlé pour que le sang de Jésus descende sur eux et sur leurs enfants (Mt.XXVII, 25).

En troisième lieu, le Pape Léon XIII au moins a estimé qu’il y a une vraie solidarité entre les juifs qui ont crié pour que Jésus meure et la collectivité des juifs des temps modernes. Dans son Acte de Consécration de la Race Humaine, n’a-t-il pas imposé à l’Eglise universelle à partir de la fin du 19me siècle de prier Dieu pour qu’il regarde enfin avec miséricorde « les enfants de ce peuple qui fut jadis votre préféré ; que sur eux aussi descende, mais aujourd’hui en baptême de vie et de Rédemption, le sang qu’autrefois ils appelaient sur leurs têtes. » ?

Mais Léon XIII est loin d’être le seul à avoir relevé cette solidarité entre les juifs de tous les temps. Aujourd’hui ne réclament-ils pas eux-mêmes la terre de Palestine en faisant valoir que c’est le Dieu de l’Ancien Testament qui la leur a donnée ? De tous les temps y a-t-il jamais eu sur la face de la terre une race-peuple-nation plus orgueilleuse de son identité à travers les siècles ? Elevés à l’origine par Dieu pour servir de crèche à son Messie, lorsqu’il est venu, hélas, ils ont refusé collectivement de le reconnaître. Collectivement aussi, ce qui veut dire qu’il y a toujours de nobles exceptions, ils sont restés fidèles à ce refus, en sorte qu’ils ont changé de religion. Celle d’Abraham, de Moïse et de l’Ancien Testament ils l’ont remplacée par celle d’Anne, de Caïphe et du Talmud. Tragiquement, c’est leur formation messianique même aux mains de Dieu qu’ils tordent pour rejeter sans cesse celui qu’ils tiennent pour un faux messie. L’Eglise a toujours enseigné qu’à la fin du monde ils se convertiront (cf. Rom. XI, 26–27), mais d’ici là il semble fatal qu’ils continueront d’agir, collectivement, en ennemis du vrai Messie.

Comment le Pape peut-il subvertir des vérités si anciennes ?

Kyrie eleison.

Dixième Anniversaire

Dixième Anniversaire on octobre 1, 2011

Le dixième anniversaire du 9/11 est venu et passé le 11 septembre, il y a trois semaines. Apparemment dans les médias des USA, il y eut un tel torrent de sentimentalité à cette occasion, que les pluies torrentielles récentes de la côte Est des États-Unis ont paru, en comparaison, une simple ondée. Toutefois, avant que le seul fait d’aborder ce sujet ne devienne « antisémite », demandons-nous avec un commentateur américain d’une intelligence et d’une intégrité indiscutables, ce que fût exactement la réalité de cet évènement.

Ce commentateur, le Dr. Paul Craig Roberts, avait annoncé il y a quelques mois qu’il cessait d’écrire. Il était découragé par le manque de lecteurs intéressés par la vérité. Heureusement il n’a pas trop tardé à revenir sur sa décision. C’est un homme qui dit la vérité comme on en rencontre trop peu autour de nous. « Aux États-Unis le respect de la vérité est mort », tel est le titre de son article du 12 sept., publié sur infowars.com. Comme il le suggère, la perte de la vérité est le drame réel, aussi bien du 9/11 que des dix années suivantes, non seulement aux USA mais de fait dans le monde entier.

Le Dr. Roberts possède lui-même une formation scientifique, et comme tel il dit être totalement convaincu par les évidences scientifiques présentées lors de la réunion sur les évènements du 9/11 tenue du 8 au 11 sept. 2011 à l’Université Ryerson à Toronto, au Canada. Au cours de quatre journées de conférences, des scientifiques, chercheurs, architectes et ingénieurs de renom présentèrent le résultat de leurs recherches sur les évènements du 9/11 (leurs découvertes sont peut-être encore accessibles sur http ://www.ustream.tv/channel/thetorontohearings). Le Dr. Roberts écrit que leurs recherches « ont démontré que dans le cas du bâtiment WTC7 il s’agissait d’une démolition contrôlée classique, et que ce sont des dispositifs incendiaires et explosifs qui ont provoqué l’effondrement des Tours Jumelles. Il n’y a plus aucun doute à ce sujet. Quiconque déclare le contraire ne dispose d’aucune base scientifique pour l’affirmer. Ceux qui croient à la version officielle croient en un miracle qui défie les lois de la physique ».

Le Dr. Roberts fait état de quelques-unes seulement des nombreuses preuves scientifiques présentées au Canada, par exemple la découverte récente de nanothermite – mélange d’aluminium pulvérisé et d’un oxyde métallique formant un explosif très fort – dans la poussière produite par l’effondrement des Tours. Mais, écrit-il, la révélation d’une telle malveillance est si écrasante que la plupart des lecteurs y trouveront un défi à leur force mentale et émotionnelle ». La propagande du gouvernement et les médias « presstitués » peuvent douter de la version officielle des gouvernements. Les faits, la science, et l’évidence ne comptent pour rien (c’est l’expérience de quelqu’un d’autre que je connais !). Le Dr. Roberts cite un professeur de Droit de Chicago et d’Harvard qui a même proposé que ceux qui s’appuient sur les faits pour douter de la propagande du gouvernement, devraient être réduits au silence !

Selon une parole célèbre de G. K. Chesterton, lorsque les gens cessent de croire en Dieu, ils ne croient pas en rien du tout, ils croiront n’importe quoi. Le plus grave, c’est que parmi les milliards de ceux qui perdent la vérité du 9/11 se trouvent des catholiques qui ne peuvent ou ne veulent pas voir l’évidence que le 9/11 est un travail « fait maison », des catholiques qui ne peuvent ou ne veulent pas voir la dimension proprement religieuse du triomphe mondial d’un tel lavage de cerveau, d’un tel mensonge que représente la version officielle du 9/11. Que de tels catholiques prennent garde. Cela peut paraître une exagération insensée de dire qu’ils risquent de perdre la Foi, mais n’avons-nous pas l’exemple effrayant de Vatican II ? N’avons-nous pas assez proches de nous les années 1960 au cours desquelles un nombre considérable de catholiques voyaient avec tant de sympathie le monde moderne qu’ils en sont arrivés à penser que leur Église devrait s’adapter à lui ? Le Concile Vatican II n’en fut-il pas le résultat ? Et celui-ci qu’a-t-il fait de leur Foi ?

Kyrie eleison.